L’écolier de 1930 n’avait pas la chance de posséder un stylo à bille ou un feutre. Mais, n’est-ce pas celui de 2008 qui n’a pas la chance de savoir manier le porte-plume ?
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Il y a bien longtemps, nos ancêtres écrivaient avec des plumes d’oie et de l’encre.
Puis, à l’école, des générations d’enfants ont appris à faire les pleins et les déliés avec le porte-plume et les plumes Sergent-Major.
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Le matin, les enfants sortaient leur plumier, ou, pour les plus chanceux, leur trousse,
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et la leçon d’écriture commençait.
Que de ratures, de pâtés, de mains noircies et de taches sur les blouses !
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Pourtant, après de nombreux efforts et de non moins nombreux conseils du maître, les petits écoliers progressaient et même pouvaient écrire de très belles pages calligraphiées ! Combien d’enfants de 2008 en sont à présent capables ?
Le musée présente une belle collection de plumes et de porte-plumes, ainsi que des cahiers d’élèves où l’on peut constater l’application et la dextérité des enfants de l’époque.
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Pendant la visite du musée, les enfants apprennent à tenir le porte-plume, à immobiliser leur feuille et leur buvard et à tracer quelques lettres ou mots simples. Ceci leur montre qu’il est bien plus facile d’écrire avec un stylo qui pardonne les mauvaises positions et que leurs grands-parents ou arrière grands-parents avaient bien du mérite !
Les enfants que nous recevons au musée adorent les leçons d’écriture et font beaucoup d’efforts pour bien écrire. Les enseignants et les parents d’élèves ne sont pas les moins enthousiastes !